Camping de Porsevigne à Plouarzel
Camping de Porsevigne - Ce qu'il faut savoir avant votre visite
S’il y a un endroit où vous pourrez camper sans vous soucier des chauds tempéraments bretons, c’est bien au Camping de Porsevigne. Situé à Porsevigne, 29810 Plouarzel, France, ce petit coin de paradis a une note tout à fait respectable de 4.2. On parle bien de camping ici, pas de luxe à la Dubaï, mais le charme rural du Finistère. Et pour ceux qui ne parlent pas bien le français, le +33 2 98 89 69 16 est là pour vos questions de camping. Et puis, il y a un site web pour les geeks de la planification : https://campings-plouarzel.jimdofree.com/.
En matière de services, ce camping est assez généreux. Accessible aux fauteuils roulants, avec des chemins de randonnée qui ne font pas trop mal aux jambes, et même un petit coin de jeu pour les enfants. Et sachez que les chiens sont les bienvenus ! Oui, sauf sur la plage. Apparemment, les plages ont eu des discussions sérieuses sur leur politique canine — en gros, pas de toutou sur le sable. Limite un doggy-détroit. Les vacanciers semblent être un peu… disons, moins civilisés que prévu, avec des plaintes concernant des nuits festives jusqu’à 3 heures du matin. On parle de vomi sur les emplacements, là ! Je veux dire, à un moment donné, il faut juste avoir un minimum de savoir-vivre, non ?
Ce qui est vraiment cool ici, c’est l’accueil chaleureux. C’est un camping qui satisfait le voici – le voilà, avec de bons sanitaires récents. Mais préparez-vous : vos douches sont facturées en supplément. En gros, vous payez pour tout, de l’accès à l’eau jusqu’à la quantité de savon que vous envisagez d’utiliser. Vous avez même une « boîte à livres »… pour ceux qui veulent introduire un peu de culture dans leur séjour, ou qui veulent tenter de lire sur la plage sans que le vent fasse tout passer à la mer.
En résumé: un bon camping à côté de la plage, des tarifs honorables (moins de 6 euros la nuit !), mais il va falloir ajuster vos attentes sur le calme. Apportez des boules Quies et une bonne playlist. Peut-être quelques livres aussi, pour éviter la pollution sonore des fans de musique à fond. Alors, prêts à affronter le Finistère ? Parce qu’on y va !